Mémoires cellulaires et souvenirs karmiques
Chaque fois que l’Âme s’incarne dans un nouveau corps, tout son bagage non résolu, non accepté et souffrant revient avec elle dans sa nouvelle vie, en résonance avec les mémoires de ses ancêtres.
Ces blessures et souffrances, véhiculées par mon karma et «léguées» de génération en génération sont ensuite renforcées par les situations et personnes que j'attire (sans en avoir conscience).
Les mémoires cellulaires conditionnent par conséquent mes rapports aux autres, mes modes de fonctionnement et génèrent dans ma vie tout ce qui m'arrive par la loi d'attraction.
Mémoires cellulaires et souvenirs karmiques
Les émotions douloureuses et situations traumatisantes d'une vie s'impriment parfois dans l'âme si puissamment qu’il suffit d'une lecture, d'un visage, d'une odeur pour les raviver dans les autres vies.
Ce qui explique que nous ne comprenons pas toujours nos réactions face à certaines personnes ou situations.
C'est notre mémoire cellulaire qui se souvient! Un karma qui resurgit du fond de nos cellules.
Ces résurgences du passé se manifestent de différentes manières :
- Ce que nous appelons un « don » ou une passion dans cette vie par exemple est la plupart du temps un acquis d’une vie précédente. C’est flagrant chez les artistes.
- certains traits de caractère, des aliments que l'on aime ou déteste, des phobies, des névroses, des maladies sont des manifestations de karmas, des souvenirs d'autres vies.
- Une odeur, une image, un son, le goût peut réveiller une mémoire karmique en ravivant le « souvenir » imprégné dans mes cellules et se manifester par une émotion intense, un sentiment de déjà « vécu » ou même parfois par une réaction physique ou un symptôme.
Cela est généralement tout à fait inconscient et se manifeste par des émotions, sentiments, symptômes (maladie, malaise, allergie...) que l'on va attribuer "au hasard", à "pas de chance" etc.
- Des karmas s’invitent occasionnellement dans nos rêves et l’on se réveille avec le sentiment bizarre que c’était un vrai souvenir ou tellement «réel ».
- L’impression familière de reconnaître une personne (un lieu) alors que nous ne l’avons jamais rencontrée. Cela peut aussi aller dans le sens d'une animosité pour quelqu'un.
- La sensation de revivre un événement, de "déjà vu".
Pour aller vers la guérison, il est essentiel de prendre conscience que toute situation et souffrance me met face à ce que j'ai à accepter, à comprendre et à libérer.
Cela passe par un accompagnement de libération des mémoires car leur mécanisme est inconscient.